L’Institut de la santé publique de la République de Macédoine, en coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique dans le projet régional de coopération technique tiendra un atelier national de deux jours sur la prévention et la remédiation du radon contenu dans les installations pour vivre et travailler, le 17 et 18 Février.

En transferant les expériences des experts de l’AIEA pour la construction de l’abri des installations de radon et d’expériences, concernant les mesures et actions pour remise en état des bâtiments construits de radon, la discussion, l’échange d’opinions et suggestions, qui constitue l’objectif principal de cet atelier.

En raison de l’introduction d’une approche élargie, multisectorielle dans le contrôle de l’exposition au radon, l’Institut de la santé publique en tant que/comme le coordinateur du programme et le groupe de travail pour la surveillance du radon, mis en place des plusieurs activités visant à associer les institutions et les secteurs concernés, qui doivent donner leur contribution à la maîtrise et la réduction de l’exposition au radon.

Le radon, d’origine naturelle est un contributeur majeur à la dose d’exposition de la population aux rayonnements de la nature, grâce à son accumulation dans différentes maisons d’échelle, des emplois et des object.

Le Centre international des recherches sur les maladies du cancer classe le radon dans la premiere groupe de cancers humains alors que, selon l’Organisation mondiale de la Santé, le radon est le deuxième facteur de risque de développer le cancer du poumon, après le tabagisme.

Donc, prévenir l’accumulation de radon grâce à l’application des protocoles, des technologies et des techniques encore au stade de la planification des bâtiments et la construction en cours est d’une importance particulière lors de la construction des installations.

 Les participants de cet atelier viennent du secteur de la construction, les ministères, les municipalités, la production de matériaux de construction, les bureaux et les instituts qui continuera d’apporter les connaissances et contribuer ainsi à l’amélioration des normes de sécurité de la construction de radon dont le but ultime est de réduire les risques l’exposition de la population et le risque du cancer des poumons à l’avenir.

L’Institut de la santé publique à travers le groupe de travail pour surveiller la situation avec le radon, prépare un projet àu long terme, la stratégie nationale plus large, pour réduire les risques du radon, qui contiendra des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé pour une approche plus large pour réduire ce facteur de risque.